Mariage de Paillard et Tiamarys (22 octobre 1457)

Citation :

Il a trouvé ses vêtements ton petit mari ma belle?

J'espère bien ma Tia même si ça tenue de tout à l'heure ne me déplaisait pas Teq rit.

Sa robe berrichonne? mais que racontait Tia? la demoiselle se tenait sagement derriere elle, perdue dans ses pensées... qui furent soudain interrompues par l'arrivée d'un oiseau, un sourire... Il n'en fallu pas plus pour dissiper la blonde, un regard a droite, un a gauche... Du monde partout! tant mieux plus facile de s'esquiver ainsi, ni une ni deux, un pas en arrière profitant de la conversation Tia/Teq le hérisson s'esquiva en direction d'une certaine colonne qui supportait l'appuie du corps de l'oiseau... une vague d'envie pour le pilier qui lui pourrait avoir la chance de cotoyer Iophel pour toute la cérémonie et la Cah rejoignit son amour, lui chuchottant:

Ainsi vous etes venu... je suis tellement heureuse!

Elle lui sourit, pas decontenancée pour un sou par la tenue originale de son aimé, osa lui voler un baiser rapide avant d'aller reprendre sa place sagement... Elle avait hate que cette ceremonie prenne fin! on se demande pas pourquoi...

La jeune fille, toujours serrée contre son fiancé, à qui elle disait tendrement de sourire, lui qui n'était pas très expansif avec quiconque d'autre qu'elle ! Puis, elle l'amena vers son parrain, qui avait l'air surpris de la voir. Anthony se tut et observa le parrain de sa fiancée, le jaugeant de regard.

Chéri, je te présente mon Parrain, qui est très certainement un cousin à moi, ou un oncle, car comme tu le vois, Blair, Olric et moi portons le même nom que lui. Et voici sa petite fille, Eloïse, et son épouse, Elie, est demoiselle d'honneur, là-bas... Parrain, je te présente mon brigand de fiancé, Anthony de Saint-James Asherton, qui vient malheureusement de Châteauroux, où il s'était arrêté en venant au Royaume de France. C'est un Lord venant du Pays de Galles que je connais depuis mon enfance, il a vingt-sept ans, oui, je sais ce que tu vas dire, neuf ans de plus que moi mais... que veux-tu ? nos familles se connaissent bien et je ne puis m'empêcher de l'aimer... Comme votre petite fille est belle ! D'un geste tout doux, elle déposa un baiser sur le front de la merveilleuse petite fille de son parrain. Oui, comme tu le vois, Tia m'a invitée, j'en suis très heureuse ! Je vais bien, je me suis fait de nouveaux amis, des saltinbanques à Thiers, j'avais besoin de respirer, bien qu'Anthony n'ait pas été heureux du tout d'apprendre que j'étais partie seule et sans escorte ! C'est pour cela que tu le vois ici ce soir, il a accouru et m'a interdit de voyager seule ! Elle se mit à rire, un rire qui l'avait quitté lorsqu'elle était à Polignac...

Elle coula un regard amoureux vers Anthony qui observait l'assemblée, silencieux et lui vola un baiser.

En tous les cas, je suis heureuse de vous revoir tous les trois ! dit-elle à son Parrain.

Bien chers Tia et Pail! C'est pour moi une joie immense de vous recevoir ici, afin que vous receviez des mains de l'Eglise le sacrement qui va faire votre bonheur. Ne prenez pas à la légère l'engagement que vous allez déclarer maintenant devant tous. Vous allez vous unir pour le meilleur et pour le pire, vous allez affronter des difficultés, des disputes et des tristesses. Mais avec l'aide de Dieu et l'enseignement d'Aristote, vous allez surmonter tout cela chaque jour, et donner à tous un exemple d'Amitié et de courage. Que Dieu vous bénisse !

Florence ouvrit des yeux immenses en regardant un Didier très...Habillé du coup.
Elle secoua la tête évitant par la même occasion de rire à gorge déployée et se dirigea tête baissée vers le lutrin.
Un mariage de 45 était un mariage de 45!
Après les baptêmes, Florence était rodée, plus rien ne la faisait sourciller!
Son regard se porta avec attention sur le jeune couple et elle leur adressa un large sourire.
Puis d'une voix cristalline, posant ses yeux sur Tigelius elle récita la main posée sur le texte Saint.

Citation :

En ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.

Une émotion forte emplis son coeur.
La jeune femme poursuivit.

Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.

Florence revint sur ses pas et se posa devant les futurs époux.
Bientôt le moment solennel serait arrivé.
Le visage illuminé d'un sourire elle posa sa main sur celle de la jeune mariée.
D'une voix douce, elle s'adressa à Tia.

Tia, veux-tu devant tous clamer ton amour pour Pail?


Florence fit un signe de tête. La parole était maintenant à Tia.

Et pourtant, il était concentré, contemplant le majestueux ballet des uns et des autres se saluer et se présenter...

Iophel vit pourtant se détacher de la foule une Walkyrie aux cheveux d'or et à la tenue rose bonbon s'approcher subrepticement de lui...

Quelques paroles échangées, un baiser volé, un croisement de regard qui en dit long et la demoiselle d'honneur se vit contrainte de le quitter car la cérémonie commençait et déjà les paroles de Florence s'élèvèrent dans la nef...

Il se concentra sur les dires de la diaconesse mais ses pensées étaient ailleurs...

Au prix d'un effort de volonté, il reporta son attention sur les jeunes heureux bientôt unis...

Elle est enfin arrivée, tres gènée, comme toujurs en retard,doucement elle laisse son regard glisser, et fini par apercevoir Kalo et Titan se glisse derrière eux, et écoute, la cérémonie a déjà commencer,mais qu'il sont beau les futurs mariés,
Se penchant sur l'épaule de Kalo, elle lui murmure, (je ne suis pas arriver à enlever ce qui pend au bas de ma robe)

Houla, ça ne rigolait plus. Cette fois, la céremonie était lancée. L'officiante avait parlé. Enfin, commençait à parler. Clamer ? La vache, pas évident, ça ! Il rentra la tête dans les épaules, esperant que cet exercice ne lui serait pas destiné. C'est qu'il n'était guère à l'aise en public, lui.

La chapelle continuait à se remplir, y aurait-il donc assez de place?
Son vassal et filleul vînt la saluer, s'inclinant :

Mes hommages, ta grâce, c’est un honneur pour cette humble chapelle que de recevoir si grande dame.

Elle lui sourit, posant une main sur son épaule alors qu'il se redressait, elle savait bien que ce genre de familiarité n'était peut-être pas tout à fait conforme à l'attitude qu'elle se tenait d'avoir, mais peu lui importait :

Tout l'honneur est pour moi de pouvoir partager avec vous ce moment qui fera prendre à votre vie un nouveau chemin. Tiamarys est une femme admirable , je suis certaine qu'elle sera une épouse merveilleuse.

Elle s'approcha et lui murmura :

Mais dis moi je te sens un peu nerveux et comme je te comprends, pas facile n'est ce pas d'avoir tous ces regards ainsi posés sur soi, je n'étais guère à l'aise le jour de mon mariage. Il suffit que tu restes concentré suivant les paroles de la diaconesse et tout ira bien.

Un pas en arrière, pour le laisser avec les autres invités, quelques mots échangés avec Tiamarys puis très vite, chacun prend place et la cérémonie commence.
A l'invitation de l'officiante, Tia prend la parole. Elle l'écoute avec émotion, admirative envers la jeune femme capable de faire une si belle déclaration en public.

grouiiiiiiiiiiig ah ben vla autre chose ,le pauvre cochon etait encore dans l'etable des bipedes ,...;que faire ,en plus la dadame lui avait mi un beau costume avec un noeux titanesque mais bon rien de perdu ,au loin il voyait sont amie la dame blanche "en chocolat"(desolé) vite retrouver ses jupons securisants !!! d'une coursse effrainée il plongeat sous les cotes de la dame pres de la grande table

Après avoir salué la future mariée le couple s'était trouvé une place sur les bancs. Tema n'y connaissait pas grand monde, bien quelques personnes croisées une fois ou deux mais sans plus. Son visage allait d'un visage à l'autre, de plus en plus épatée des tenues aussi belles les unes que les autres, elle s'en sentait presque mal à l'aise dans sa tenue toute simplette de ptite de ce monde. Du monde, encore et toujours et pas un plus connu que les autres jusqu'à ce qu'une dame sorte du lot, elle la reconnut de suite ce qui la fit sourire. Discrètement elle chuchote à son homme

Excuse moi mon cœur, je reviens je vais saluer la Duchesse.

Un signe de tête vers la Duchesse pour la lui montrer, une bise dans son cou puis elle se fraye un chemin entre les invités pour aller la retrouver. Souriante elle vient à ses côtés et chuchote pour ne pas déranger la cérémonie en cours

Bjour ma Duchesse, ravie de vous voir ici ! Vous allez bien ?

Tema se tient les bras croisés devant elle, pas à l’aise du tout bien qu’elle tente de le cacher. Elle lui chuchote.

Dites donc ça c’est du mariage ! C’est toujours aussi grandiose ? C’est mon premier alors je ne sais pas trop…